SUIVEZ EN LIVE LA MINI-SÉRIE « PROTÉGEONS L’AMAZONIE » – ACTION CITOYENNE EN EUROPE LES 21 et 22 MARS


À l’occasion des journées mondiales des forêts et de l’eau, respectivement Les dimanche 21 et lundi 22 mars 2021, Planète Amazone s’associera à de nombreuses organisations pour lancer une action citoyenne à l’échelle européenne et diffusera en live sur Facebook une mini-série de 4 épisodes (2 épisodes chaque soir), issue du live “Protégeons l’Amazonie…. ”, produit et diffusé en anglais par earthxtv.org en février.


Les visuels de cet article ont été réalisés par Aurélie Casimiri.

D’une durée d’une heure et demie par soirée, « PROTÉGEONS L’AMAZONIE » réunit de façon trans-générationnelle les plus grands acteurs mondiaux de la cause environnementale, des jeunes engagés pour le climat, des personnalités et certains des leaders indigènes amazoniens les plus emblématiques.

 

suivre la première partie sur facebook
à l’occasion de la journée mondiale des forêts

Dimanche 21 mars 2021 à 20:00

Cliquez ici pour accéder au replay

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suivre la deuxième partie sur facebook
à l’occasion de la journée mondiale de l’eau

Lundi 22 mars 2021 à 20:00

 

(La vidéo se lancera automatiquement quelques minutes avant 20h00.
Le message d’erreur présent avant est normal.)

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Avec le cacique Raoni Metuktire, le cacique Ninawa Huni Kui, Valdelice Veron, le cacique Kretã Kaingang, Patricia Gualingua, Appolinaire Oussou Lio, le dr. Jane Goodall, le capitaine Paul Watson, Nicolas Hulot, Pierre Richard, Bernard Lavilliers, David Suzuki, la Princesse Esmeralda de Belgique, Anuna de Wever, Adelaïde Charlier, Franca Scuito, Sydney Possuelo, Gert-Peter Bruch, Leila Salazar-Lopez, Alessandra Korap


Une production EarthX, en collaboration avec Planète Amazone, le Fonds Léopold III pour l’Exploration et la Conservation de la Nature, Amazon Watch et la Fédération du peuple Huni Kui de l’Acre (Fephac).


Avec le soutien de nombreuses associations :
Jane Goodall Institute, Maiouri Nature, Or de question, CCFD terre solidaire, Notre affaire à tous, Ishpingo, Envol Vert France, Mouvement Colibris, Permavenir, Le chemin de la nature, M.Mondialisation, Sauvons la forêt, ANV Cop21, ICRA International.

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Les citoyens européens n’en peuvent plus de participer contre leur gré à la destruction de l’Amazonie. À l’occasion des journées internationales des forêts et de l’eau, Planète Amazone, en association avec le Fonds Leopold III, la FEPHAC, et Amazon Watch leur propose donc, en coproduction avec EarthX TV (USA), une mini-série documentaire en 4 épisodes (diffusés les 21 et 22 mars à 20h au rythme de deux chaque soir). Elle sera le socle d’une action citoyenne européenne qui sera lancée simultanément.

Tirée d’un live diffusé le 18 février dernier sur internet, simultanément aux Etats-Unis et en Europe, la série est animée par le cacique Ninawa Huni Kui et co-présenté par Mindahi Bastida (gardien de la philosophie et des traditions du peuple Otomi, au Mexique), la Princesse Esmeralda de Belgique (présidente du Fonds Léopold III), Gert-Peter Bruch (fondateur de Planète Amazone) et Leila Salazar-Lopez (directrice d’Amazon Watch).

 

► DESCRIPTIF DU PROGRAMME  ◄

 

Partie 1 :

1 – Les peuples indigènes du Brésil, gardiens de l’Amazonie
et protecteurs de la démocratie

2 – La protection des terres indigènes au Brésil,
une œuvre commune inachevée

 

Dans les deux premiers volets de cette série de 4 épisodes, vous découvrirez notamment les interventions de plusieurs leaders indigènes (le cacique Raoni, le cacique Ninawa Huni-Kui, Kretã Kaingang, Valdelice Veron… ) et de personnalités emblématiques (Pierre Richard, David Suzuki, Sydney Possuelo…).

 

Partie 2 :

3 – Renforcer les droits des peuples indigènes
et reconnaître les droits de la Terre Mère

4 – Perspectives d’Alliance entre les Gardiens indigènes et les citoyens du monde
pour préserver la Terre Mère et l’humanité

 

Dans les deux derniers volets de cette série de 4 épisodes, vous découvrirez notamment les interventions de plusieurs leaders indigènes (Alessandra Korap, Patricia Gualinga…) et de personnalités emblématiques (Jane Goodall, Paul Watson, Nicolas Hulot…).

 

Ce programme qui réunit pas moins de 26 gardiens de la Terre, vise à engager les citoyens du monde à répondre à l’urgence à laquelle est confrontée l’Amazonie : une accélération hors-contrôle de la déforestation et des feux de forêt et une fragilisation extrême des peuples indigènes, gardiens de la forêt.

Face à l’immobilisme de la communauté internationale, cet appel veut replacer la protection des territoires indigènes au centre du débat. Il sera suivi d’une action citoyenne de grande ampleur que nous vous révélerons prochainement !

 

 

Maîtres de cérémonie


© Midia Ninja

Cacique Ninawa Huni Kuí

Le cacique Ninawa est un Chef du peuple Huni Kuí qui vit dans l’Acre, un Etat de l’Amazonie brésilienne. Guérisseur et militant pour les droits des peuples indigènes, il préside la Fédération Huni Kuí , aussi appelé Kaxinawé, “Peuple Vrai”.

Son groupe ethnique est fort d’environ 8 000 personnes, réparties sur 114 000 hectares. Connue surtout chez nous pour ses cures et l’utilisation des plantes médicinales, la culture Huni Kuí est issue de la forêt, dont elle traduit les secrets. Ambassadeur de son peuple, voyageant dans le monde entier, le cacique Ninawa est aussi engagé dans l’agro-foresterie et la lutte contre la financiarisation du carbone.

Le cacique Ninawa Huni Kui a rejoint l’Alliance des Gardiens de Mère Nature en octobre 2017 pendant la Grande Assemblée ayant menée à la Déclaration de l’Alliance des Gardiens et Enfants de la Terre Mère, à laquelle il a activement participé en tant que délégué de tous les peuples indigènes du Brésil.


© Gert-Peter Bruch –
Planète Amazone

Mindahi Bastida

Docteur en développement rural, Mindahi Bastida participe activement à la défense de l’environnement et des droits des Peuples Indigènes. Il est notamment Président du Conseil Mexicain du Développement Durable et membre du Comité Directeur de l’Initiative d’Évaluation Bioculturelle du Changement Climatique des Peuples Indigènes.

Appartenant à la Nation Otomi (Mexique), il est membre du Conseil Régional Otomi-Toltec à Mexico, officier de cérémonie rituelle Otomi et directeur du «Original Caretakers Program» du Center for Earth Ethics. Il est aussi membre fondateur de l’Alliance des Gardiens de Mère Nature, mouvement lancé à la COP21 par un appel du cacique Raoni porté par Planète Amazone.

Mindahi Bastida s’inscrit dans la lignée de son peuple en se battant pour la reconnaissance des droits des peuples autochtones au Mexique et à l’international. Il suggère, dans notre film Terra Libre, de « porter plus d’attention à l’auto-détermination des peuples ».

Plus récemment, Mindahi Bastida a participé à la journée de la Terre (22 avril) en effectuant une prière pour le climat. Il a également réagi, en juin dernier, dans une déclaration ”The Spirit is Action: A Call for Justice”, à l’assassinat, au Guatemala, du Chef Traditionnel Maya Domingo Choc.

 

Gardiens de la Terre


© Gert-Peter Bruch –
Planète Amazone

Cacique Raoni Metuktire

« Nous respirons tous un seul air, nous buvons tous une seule eau, nous vivons tous sur une seule Terre. Nous devons tous la protéger. »

Visage symbolique de la lutte menée pour la protection de la forêt amazonienne et des peuples indigènes, le cacique Raoni entreprend en 1989, aux côtés du chanteur Sting, une tournée dans 17 pays à travers le monde afin de diffuser son message et récolter des fonds pour la création d’un parc national unifiant plusieurs territoires indigènes.

Le Cacique Raoni devient alors l’un des messagers emblématiques du cri de détresse des peuples en souffrance et des dérives liées à la déforestation. En 2012 et 2014, il participe aux tournées européennes organisées par Planète Amazone « Urgence Amazonie » et « Sos Amazônia ».

En 2015, il lance, en collaboration avec Planète Amazone et d’autres chefs indigènes et militants internationaux, un appel en faveur de la protection de l’environnement : l’Alliance des Gardiens de Mère Nature, mouvement en faveur de la paix et des générations futures.

Cacique Kretã Kaingang

Le cacique Kretã Kaingang perpétue la lutte de ses ancêtres et notamment celle du grand leader indigène Angelo Kretã, symbole vivant de la résistance pour la protection des terres qui fut assassiné en 1980. Le peuple Kaingang se bat depuis déjà longtemps pour une délimitation du territoire mais aussi pour la préservation de la forêt d’Araucaria déjà extrêmement atteinte par la déforestation. 

Le combat de Kretã Kaingang, bataille pour les indigènes et pour la terre, contribue également à mettre en lumière les crimes subis par de nombreux peuples : écocide et génocide.

Malheureusement, tel qu’il le raconte dans le film de Gert-Peter Bruch Terra Libre, la plupart des terres sur lesquelles vivaient leurs ancêtres autrefois leurs ont déjà été volées : “aujourd’hui notre lutte concerne les terres que nous détenons encore”.

Récemment il a été l’un des premiers à alerter du génocide des peuples autochtones pendant la pandémie de la Covid-19. Il fut l’un des meneurs dans l’élaboration du plan de lutte “Urgence Indigène” afin d’aider les peuples touchés. Planète Amazone, dont le cacique Kretã Kaingang est partenaire, avait d’ailleurs soutenu ce combat avec l’opération “Covid 19- L’alliance des Gardiens de Mère Nature”.

Valdelice Veron

Elle est mère, épouse et fille orpheline du cacique Guarani Kaiowá Marcos Veron, sauvagement assassiné par l’agro-crime en 2003, dans le Mato Grosso do Sul.

Valdelice Veron est plus qu’une femme indigène : c’est une combattante qui se bat avec bravoure pour défendre les droits de son peuple, volés tout comme leur ont été volées les terres sur lesquelles son père et d’innombrables leaders sont tombés.

« Ma fille, prépare-toi car aujourd’hui nous allons reprendre nos terres », lui disait son père depuis sa plus tendre enfance. »

Elle a appris, et poursuit la lutte malgré les menaces de mort. Valdelice Veron œuvre sur plusieurs fronts, depuis la distribution de donations – avec son mari Natanael Ñandeva Vilharva Caceres – jusqu’à la défense des vies dans les territoires déjà reconnus comme indigènes, comme ce fut le cas du récent conflit pour la terre Yvy Katu. Elle est respectée et reconnue internationalement.

Sœur du cacique Ládio Veron, lui aussi menacé de mort, Valdelice mérite tous les prix qui lui ont été décernés et le respect pour l’amour sublime qu’elle ressent pour le peuple Guarani-Kaiowá, méprisé et massacré. Les conférences font aussi partie de son quotidien, elle qui dénonce au monde la vraie situation du peuple indigène le plus persécuté et violenté dans ses Droits de l’Homme.


© Sarita Reed

Alessandra Korap Munduruku

Personnalité indissociable de la préservation de l’environnement et de la défense des peuples autochtones, Alessandra Korap est une cheffe Munduruku, peuple brésilien de l’Etat du Pará en Amazonie.

Elle met à profit son courage et sa ténacité pour dénoncer l’invasion de grands projets d’infrastructures, du type barrage, au cœur des zones protégées d’Amazonie. Elle est aussi la principale coordinatrice de l’association d’Indigena Pariri qui regroupe trente-cinq familles de dix peuples indigènes et groupes autochtones provenant de la région Medio Tapajós à Itaituba.

En 2020, elle a remporté le prix Robert F. Kennedy des Droits de l’Homme.

Patricia Gualinga

Issue d’une famille de leaders et de femmes fortes, Patricia poursuit la lutte de sa mère et de ses tantes. Cette cheffe du peuple Kichwa de la communauté Sarayaku en Amazonie équatorienne défend le droit de son peuple à disposer de son territoire et celui de pouvoir vivre dans une nature préservée.

Elle se bat pour la protection de l’Amazonie, pour la survie de Mère Nature et contre toute forme d’exploitation de territoires abritant une biodiversité incroyablement variée et sacrée. Les menaces qui pèsent sur sa communauté, allant de la construction de barrages à l’exploitation pétrolière, sont nombreuses. En effet, le peuple de Patricia Gualinga vit sur un territoire déjà extrêmement touché par les répercussions des activités liées au pétrole. En 2012, la communauté Sarayaku a tout de même obtenu une victoire juridique historique suite à l’installation d’explosifs sur leur territoire par une concession pétrolière, sans concertation préalable. La Cour Inter-Américaine des Droits de l’Homme avait alors exigé de l’Equateur qu’il reconnaisse avoir violé leurs droits.

Sa vision holistique de la Nature fait qu’elle porte un regard sacré sur la forêt qui doit être protégée au même titre que les humains. Pour elle, toute la Nature, pierres, arbres et rivières, est vivante et l’être humain y est intrinsèquement lié, étant lui-même la Nature mais ne l’ayant pas encore vu.

Jade Begay

Jade Begay est une réalisatrice et consultante en stratégie des médias chez Resource Media, organisation à but non lucratif qui intervient auprès d’associations œuvrant pour la protection de l’environnement et des communautés.

Amérindienne Diné vivant dans la région du Tesuque Pueblo au Nouveau Mexique, Jade Begay est aussi membre du collectif NDN qui agit en faveur d’une justice climatique et des communautés indigènes à travers le monde.

Appolinaire Oussou Lio

Appolinaire Oussou Lio est Prince Djaka Whaénu Atawé de la communauté autochtone Tolinou du Benin, Nigeria et diaspora. Il est le président de l’ONG Grabe-Bénin qui œuvre à la conservation de la biodiversité et la protection des sites sacrés.

Géographe-Naturaliste, expert en jurisprudence de la Terre, il travaille pour la conservation des ressources naturelles en se basant sur les connaissances des ancêtres et à travers le dialogue intergénérationnel. Avec son programme arbre-vie il oeuvre pour la restauration des forêts sacrées et le reboisement.

Parallèlement, Appolinaire anime des dialogues communautaires pour faire revivre les valeurs traditionnelles et les échanges intergénérationnels sur l’agriculture durable, l’agro-écologie, la gouvernance écologique, les semences traditionnelles etc. Riche de son expérience, il a développé des aptitudes et des outils de communication basés sur les connaissances endogènes et modernes, facilitant l’intégration de toutes les couches sociales.

Au niveau international, Appolinaire Oussou Lio s’investit également en tant que vice-président du Réseau Africain pour la biodiversité (ABN) et est membre du Comité Exécutif de l’Alliance des Gardiens de la Mère Nature, fondée en 2015 à l’appel du cacique Raoni.


© Midia Ninja

Magdalene Setia Kaitei

Magdalene Setia Kaitei fait partie du peuple Maasaï, communauté pastorale qui réunit au Kenya quelque 800.000 personnes dans les régions de Kajiado, Narok, Laikipia et Samburu.

Elle est directrice exécutive de Emayian Integrated Development Organization, qui lutte pour l’amélioration des conditions de vie des Maasai, pour la protection des ressources naturelles, des forêts, face à l’accaparement des terres et à l’exploitation fermière, et contre le changement climatique, au sein du département de Kajiado. Magdalene a travaillé avec la communauté Maasaï pendant quinze ans, sous l’angle des questions liées au développement et l’injustice sociale.

Elle est également membre du Comité Exécutif de l’Alliance des Gardiens de Mère Nature.


© Vincent Calmel

Dr. Jane Goodall

Née en Angleterre en 1934, Jane Goodall s’est lancée très jeune dans l’étude des animaux sauvages. Partie au Kenya à 23 ans, elle y rencontre le paléontologue Louis Leakey. Sur sa recommandation, elle monte une expédition dans la réserve nationale du Gombe en Tanzanie pour étudier comportement des chimpanzés. Celle-ci début en 1960. Après de nombreux mois de recherches infructueuses, les chimpanzés finissent par tolérer sa présence et la laissent les observer. Les découvertes qui résultent de ces efforts bouleversent le domaine de la biologie de la faune.

L’université de Cambridge lui remet un doctorat en éthologie en 1965, et elle crée le centre de recherches de la région du Gombe, qui instaure la doctrine de non-intervention humaine. En 1977, elle fonde l’Institut Jane Goodall pour la recherche, l’éducation et la conservation de la faune. L’institut, finalement établi à Washington, vise à promouvoir les programmes de conservation et les efforts de protection des chimpanzés.

Jane Goodall est également la fondatrice de Roots & Shoots, un programme d’éducation sur l’environnement lancé en Afrique de l’Est qui s’est mué en plus de 10.000 groupes dans le monde entier. Roots & Shoots encourage les étudiants à se mobiliser pour la protection des animaux, de l’environnement et des communautés humaines.

Jane voyage à présent dans le monde entier pour faire part de ses recherches et de ses initiatives pour la protection des chimpanzés et de leur habitat naturel.

David Suzuki

« Je ne peux pas imaginer quelque chose de plus important que l’air, l’eau, le sol, l’énergie et la biodiversité. Ce sont les choses qui nous maintiennent en vie. »

Scientifique et personnalité de la télévision canadienne, David Suzuki a cofondé la Fondation David Suzuki en 1990 et il est reconnu mondialement comme chef de file dans le domaine de l’écologie durable et a reçu plusieurs récompenses pour son travail, notamment le Prix scientifique UNESCO et une médaille du Programme des Nations Unies pour l’environnement. Il a également été reçu Compagnon de l’Ordre du Canada. Il est titulaire de 29 doctorats honorifiques qui lui ont été décernés par des universités canadiennes, américaines et australiennes. David Suzuki a eu l’honneur de recevoir huit noms autochtones et d’avoir été officiellement adopté par deux communautés des Premières nations en raison du soutien indéfectible qu’il a accordé aux peuples autochtones.

En 1979, il a acquis une réputation internationale en tant qu’animateur de la populaire série télévisée The Nature of Things présentée sur le réseau anglais de la Société Radio-Canada et qui continue de diffuser de nouveaux épisodes.

Capitaine Paul Watson

« Nous sommes des passagers, nous ne sommes pas l’équipage. »

Fondateur iconique de la Sea Sheperd Conservation Society, Paul Franklin Watson est né à Toronto et il débute sa carrière de marin au sein des garde-côtes en 1968 puis intègre la marine marchande l’année suivante à bord d’un navire norvégien.

En 1971, il participe à une contestation organisée par le Sierra Club, association écologiste américaine, contre les essais nucléaires sur l’île Amchitka, au large de l’Alaska. Cet événement protestataire donne lieu à la création de Greenpeace dont Paul Watson restera membre jusqu’en 1977.

S’étant fait la promesse de protéger tout au long de son existence les créatures marines, il crée dans la foulée la Sea Sheperd Conservation Society ayant pour vocation la préservation des écosystèmes marins. Un an plus tard, il achète, avec l’aide du Fund for animals, le premier navire de l’organisation : le Sea Sheperd. Promouvant l’action directe, il mène une lutte obstinée contre les navires de pêches illégaux, notamment les baleiniers, à l’échelle internationale.

En parallèle, « le pirate des mers » est correspondant de l’association Defenders for Wildlife et le cofondateur de Friends of the Wolf et Earthforce Environmental Society. Depuis le rassemblement d’Altamira en 1989, il est un soutien indéfectible du cacique Raoni,et épaule, depuis 2010, Planète Amazone dans son opposition au barrage de Belo Monte. Pendant la COP21, il s’allie à leurs côtés lors du lancement de l’Alliance des Gardiens de Mère Nature.

Nicolas Hulot

« Contemplation rime avec compréhension. »

Nom indissociable de l’engagement écologique, Nicolas Hulot évoque toute une vie passée à alerter sur l’urgence climatique.

Après avoir parcouru la planète en tant que photo-reporter pour l’agence Sipa, agence française de photojournalisme, il entame une carrière dans l’audiovisuel chez France Inter de 1978 à 1987. La même année, il présente pour la première fois Ushuaïa, le magazine de l’extrême qu’il anime jusqu’en 1995 puis Ushuaïa Nature jusqu’en 2012. Sensibilisant le grand public sur les questions écologiques, ces émissions feront de lui l’incarnation française de la préservation de la nature et permettront à la Fondation Ushuaïa, devenue par la suite la Fondation Nicolas-Hulot pour la nature et l’homme, de voir le jour.

Depuis les années 2000, Nicolas Hulot tente d’insuffler ses préoccupations écologiques parmi les plus hautes instances de l’Etat. A travers sa fondation, il lance, le 7 novembre 2006, le Pacte écologique et devient, sous la présidence de François Hollande, « envoyé spécial pour la protection de la planète ». En 2017, il est nommé ministre d’Etat, ministre de la transition écologique et solidaire par Emmanuel Macron. Après plusieurs désaccords idéologiques avec le gouvernement notamment sur la question du glyphosate, il annonce, un an plus tard, sa démission.

Depuis 2011, Nicolas Hulot est un soutien public du Chef Raoni et de Planète Amazone contre le barrage de Belo Monte, et soutient également l’Alliance des Gardiens de Mère Nature.

Sydney Possuelo

Explorateur brésilien et ethnographe, Sydney Ferreira Possuelo est aussi un activiste considéré comme l’une des principales autorités des peuples indigènes de nos jours au Brésil.

Né en 1940, il mène, depuis les années 60, des expéditions au sein de la forêt amazonienne afin de rencontrer les tribus les plus isolées. Jusqu’en 2006, il était à la tête de la Fondation Nationale de l’Indien (FUNAI), bureau gouvernemental œuvrant en faveur de la préservation des terres et des modes de vie traditionnels indigènes des tribus isolées.

Sydney Possuelo a établi des contacts avec sept peuples qui n’avaient encore jamais été approchées par l’homme Blanc.  Il est à l’origine du rétablissement de la paix entre les indigènes Korubo et la FUNAI dont plusieurs membres avaient été tués lors de précédents contacts. Ses travaux lui ont permis d’obtenir de nombreuses distinctions tels qu’une médaille d’or décernée par la Royal Geographical Society ou encore le titre de « Hero of the year » 2001 attribué par les Nations Unis.

Franca Sciuto

Avocate et ex-présidente du Comité Exécutif d’Amnesty International, le Dr Franca Sciuto est aujourd’hui la présidente du Rainforest Fund (anciennement Rainforest Foundation) qu’elle avait cofondée en 1989 avec Trudie Styler et Sting.

Cette Fondation est née d’une promesse faite par Sting au chef autochtone Raoni, de la tribu Kayapó pour l’aider, ainsi que son peuple, à faire valoir leurs droits légaux sur leurs terres.

Cet engagement envers le chef Raoni a été respecté en 1992, grâce aux généreuses contributions et au soutien de personnes du monde entier. La démarcation physique des terres de la tribu Kayapó a été entreprise par les peuples autochtones eux-mêmes grâce à la technologie la plus moderne.

Jojo Mehta

Jojo Mehta a co-fondé la campagne Stop Ecocide en 2017 aux côtés de l’avocate et pionnière en la matière Polly Higgins pour soutenir la reconnaissance du crime d’écocide auprès de la Cour Pénale Internationale. Elle a coordonné la campagne internationale grandissante (équipes dans 8 pays, sites internet en 7 langues) et les juristes, avocats et parlementaires engagés dans ce travail fondamental.

Elle est présidente du Conseil d’administration de la Fondation Stop Ecocide aux Pays-Bas qui dirige dorénavant la campagne et responsable d’un panel d’experts indépendants pour la définition juridique de l’Ecocide sous la présidence de Philippe Sands QC et Dior Fall Sow.

Jojo Mehta est la directrice exécutive et porte-parole de Stop Ecocide International et elle a participé à des conférences juridiques, des sommets environnementaux, des festivals et des rassemblements climatiques tout comme des podcasts, des interviews et des articles dans des médias forts divers comme The Ecologist ou le New York Times ou bien encore d’Extinction Rebellion à la BBC.

Elle a été la conférencière d’honneur à l’événement officiel “Enquêter et poursuivre les écocides: le rôle actuel et futur de la CPI” qui s’est tenu en décembre 2019 dans la République du Vanuatu dans le cadre de la 18ème Assemblée des états membres du Statut de Rome de la Cour Pénale Internationale de La Haye.


© François Ducobu

Adélaïde Charlier

Etudiante en sciences social à la VUB, Adélaïde Charlier vient d’avoir 20 ans. En 2019, elle a lancé avec Anuna De Wever le mouvement Youth for climate, qui a organisé pendant 20 semaines des grèves scolaires. Depuis lors, la lutte pour le climat est devenue pour elle une préoccupation de chaque jour, amenant à des changements personnels : alimentation, transports, consommation courante…

En octobre 2019, elle fait partie de la trentaine de jeunes qui ont embarqué sur un voilier pour se rendre à la COP 25 (au départ prévu au Chili), sur l’idée qu’il fallait attirer l’attention sur d’autres modes de transports. Début 2020, elle fait un stage au parlement européen. Plus tard la même année, elle accepte d’être ‘special advisor’ de Mr. Timmermans, Vice-président de la commission européenne.

Depuis les marches, il y a eu en Belgique diverses actions (essentiellement en face de la Commission/Conseil européen) organisée par YFC. Avec la situation sanitaire, le mouvement ne peut cependant pas organiser de grands rassemblements, ce qui a réorienté l’activité vers l’organisation de webinars, et la circulation d’infos sur les réseaux sociaux. Avec les autres activistes de son mouvement, Adélaïde veut s’assurer aujourd’hui que l’urgence climatique n’est pas oubliée en amenant ce message via des rencontres avec des dirigeants politiques, comme Ursula Von Der Leyen, Angela Merkel, Emmanuel Macron…

Anuna de Wever

« Nous sommes le climat. »

Anuna De Wever Van der Heyden est une jeune activiste pour le climat et la co-organisatrice des marches pour le climat en Belgique. Stagiaire au sein du groupe des Verts au Parlement Européen dans l’équipe de campagne et de sensibilisation.

Elle a contribué à un plan d’action pour le climat en Belgique conduit par Jean-Pascale Van Ypersele et Leo Van Broeck, fait campagne lors de la COP, l’accord commercial du Mercosur, la loi climat et elle a participé à l’élaboration de nombreuses lois européennes.

Elle est aussi la co-auteure du livre « Nous sommes le climat » et elle a participé au voyage en voilier en compagnie de 35 autres jeunes activistes vers l’Amérique du Sud. Elle a aussi visité la forêt amazonienne pour travailler avec les peuples indigènes pour trouver des solutions à la destruction de cette forêt.

 

Avec la participation exceptionnelle de…

Pierre Richard

L’acteur et réalisateur Pierre Richard soutient les peuples indigènes et tente d’éveiller les consciences françaises en s’alliant à Planète Amazone.  En 2011, notamment, il avait répondu à l’appel de mobilisation du Cacique Raoni contre le monstrueux barrage de Belo Monte sur le fleuve Xingu et avait apporté son soutien officiel aux peuples indigènes d’Amazonie qui se battent pour la préservation de leurs terres.

Il a également poussé un cri d’alarme lors de la venue en France de Valdelice Veron, porte-parole de son peuple et victime de l’exploitation du territoire, pour interpeller sur l’horreur que vit son peuple Guarani-Kaiowa et sur la part de responsabilité de la France qui se rend complice d’assassinats, d’écocide et d’ethnocide.

Gardien de la Terre depuis la création de l’Alliance des Gardiens de Mère Nature en 2015, il a soutenu et accompagné la mise en place de ce mouvement réunissant 200 représentants indigènes et militants du monde entier, notamment en prêtant son image pour l’appel au financement participatif “Rejoignez les Gardiens de la Terre” lancé par Planète Amazone, tout comme l’ont fait Bernard Lavilliers ou Paul Watson.


© Extinction-Rebellion

Arizona Muse

Mannequin américain, Arizona Muse est une grande habituée des séries mode, des couvertures de magazines et des campagnes publicitaires du luxe : elle a été l’égérie, entre autres, de Prada, Louis Vuitton, Yves Saint Laurent, Estée Lauder, Chloé…

Depuis 2016, elle s’est aussi engagée très activement dans la cause du développement durable et elle est devenue une activiste de réputation internationale concernant le changement climatique. Arizona Muse milite pour une mode plus responsable et en accord avec la nature.

Cel Spellman

Cel Spellman est un acteur et un présentateur anglais. Ses derniers rôles incluent le personnage principal dans White Lines de Netflix (n °1 dans 30 pays), BBC One’s World on Fire et ITV’s Cold Feet qui a connu plusieurs saisons. Cel est aussi présentateur depuis 10 ans, d’abord avec CBBC lors de nombreuses émissions mais également DJ de BBC Radio 1 depuis 5 ans.

Cel est passionné par la sensibilisation au changement climatique. Il a travaillé avec le WWF pendant plus de 10 ans et l’année dernière, il a été nommé Ambassadeur officiel ainsi que partisan de haut niveau de l’UNICEF mais aussi Ambassadeur de The Wildlife Trusts. Parallèlement à cela, Cel travaille également avec un certain nombre d’autres organismes de bienfaisance environnementaux, notamment la Coalition pour le climat, la Fiducie des jeunes pour l’environnement et la Cité des arbres.

Bernard Lavilliers

Bernard Lavilliers vit une adolescence agitée entre quelques combats de boxe, une année d’incarcération en maison de correction avant de rejoindre son Eldorado, le Brésil, dont il revient un an après pour être incarcéré à la Forteresse de Metz en tant qu’insoumis. En 1967, il débarque à Paris et effectue ses débuts de chanteur dans les cabarets.

Devenu une légende de la chanson française, Bernard Lavilliers, intervient et apparait dans le film Terra Libre réalisé par Gert-Peter Bruch et produit par Planete Amazone (sortie en 2021). Bernard Lavilliers est engagé auprès de Planète Amazone depuis 2013, pour protéger les indigènes d’Amazonie, leurs terres et leurs droits et faire reconnaître Droits de la Nature et crime d’écocide.

Dès 2010, il avait rejoint le combat du Cacique Raoni Metuktire en 2011 dans le cadre de sa lutte contre la construction du barrage de Belo Monte sur le fleuve Xingu. Aujourd’hui, Bernard Lavilliers contribue toujours à faire connaître et grandir l’Alliance des Gardiens de Mère Nature. Gardien du futur !

 

 

Présentateurs / alliés

Princesse Esmeralda de Belgique

La princesse Esmeralda est un membre de la famille royale belge. Elle est journaliste, auteure et conférencière et a également co-produit trois documentaires pour la télévision et publié plusieurs livres sur sa famille, l’environnement et les femmes lauréates du Prix Nobel de la Paix.

Esmeralda est une militante pour les droits humains, en particulier pour les droits des peoples premiers, et pour l’environnement. Elle a également pris part au débat sur le racisme dans nos institutions au lendemain de l’assassinat de George Floyd aux Etats-Unis, affirmant que nous avons tous une responsabilité de confronter notre Histoire pour bâtir une société plus juste. Elle a ainsi dénoncé le passé colonial belge et le règne de son arrière-grand-oncle, le roi Leopold II, durant lesquels des millions de Congolais sont morts.

Elle est très engagée pour la défense de l’environnement et a participé aux manifestations d’Extinction Rebellion à Londres. Elle a été l’une des 1200 personnes arrêtées par la police en octobre 2019. Esmeralda est la Présidente du Fonds Leopold III pour l’Exploration et la Conservation de la Nature, créé par son père en 1972. Celui-ci fut un pionnier de l’écologie et l’un des premiers Européens à visiter le parc du Xingu dans les années 60 et à passer de nombreux mois avec les communautés autochtones.


© Yann Rossignol

Gert-Peter Bruch

« Il est facile d’échapper au sentiment de culpabilité lorsqu’on ne voit pas les dégâts que l’on a causé.»

Journaliste, photographe, réalisateur mais aussi auteur de deux ouvrages : «Bernard Lavilliers, Escales» et «Sting, enquête de Police», Gert-Peter Bruch rencontre grâce à Sting le cacique Raoni, source de son engagement depuis plus de 30 ans pour la protection de la forêt amazonienne.

Fondateur de Planète Amazone, qui soutient les peuples autochtones dans leur combat international contre la déforestation, il est à l‘initiative de trois tournées internationales du Cacique Raoni dont «SOS Amazônia» et «Urgence Amazonie». Gert-Peter Bruch est aussi membre du comité exécutif de l’Alliance des Gardiens de Mère Nature dont il est l’un des grands architectes.

En 2019, il réalise «Terra Libre», documentaire soulignant l’inaction des gouvernants voire même leur complaisance aux bénéfices d’un écocide de masse dont la sortie est programmée avant l’été 2021.

Leila Salazar-Lopez

Femme Chicana-Latina, Leila Salazar-Lopez est une défenseure passionnée de la Terre Mère, de l’Amazonie, des droits autochtones et de la justice climatique.

Depuis 2015, elle est la directrice exécutive d’Amazon Watch, dirigeant l’organisation dans son travail de protection et de défense de l’intégrité bio-culturelle et climatique de la forêt amazonienne tout en faisant progresser les droits, les territoires et les solutions des peuples autochtones.

Depuis plus de 20 ans, Leila a travaillé pour défendre les forêts tropicales du monde, les droits de l’homme et le climat grâce à des organisations et des campagnes de plaidoyer internationales chez Amazon Watch, Rainforest Action Network et Global Exchange. Elle siège au Conseil d’Administration de l’Amazon Sacred Headwaters Initiative et du Amazon Emergency Fund. Elle est également membre votant de Greenpeace et conseillère du Fonds mondial pour les femmes pour l’Amérique latine.

Depuis que la nouvelle d’incendies sans précédent dans toute l’Amazonie a éclaté en août 2019, Leila a prononcé des discours lors de nombreuses conférences et webinaires, notamment Bioneers, TEDx Berkeley 2020 et Artists United for Amazonia, pour amplifier l’urgence amazonienne et le respect des droits des peuples autochtones.

Depuis 1998, elle est diplômée de l’Université de Californie à Santa Barbara et vit à San Francisco avec son mari et ses deux jeunes filles.

 

 



Mis a jour le 2024-03-29 17:37:12

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