Décembre :
Le 12, Planète Amazone retourne au lycée La Salle Saint-Denis pour un suivi du projet « Écocide », avec une projection du film et des ateliers de sensibilisation. Le 17, une projection inaugurale est organisée au nouveau campus de l’ISE Lyon, suivie d’une table ronde sur l’avenir des métiers de la transition écologique, en présence de Gert-Peter Bruch, d’enseignants et de jeunes professionnels engagés. Cette dernière intervention clôt une année marquée par le lancement effectif de la phase II du projet « Amazonia, Cœur de la Terre Mère », et prépare la poursuite de la tournée et des coopérations éducatives en 2025.
Planète Amazone continue de renforcer ses partenariats éducatifs et institutionnels pour préparer les actions de l’année suivante. Des réunions de bilan sont organisées pour évaluer l’impact de la tournée d’impact et planifier les prochaines étapes du projet.
Novembre :
Du 6 au 27 novembre, la tournée d’impact du film « Amazonia, Cœur de la Terre Mère » se déploie à travers vingt établissements et structures en France, en Belgique, en Suisse et aux Pays-Bas. Elle réunit une délégation indigène composée de Magdalene Kaitei (Maasaï), Mauricio Yekuana (Yanomami), Tau Metuktire (Kayapo), Grandmother Helene Lindmark (Sámi) et Thaline Karajá (Brésil). Le 6 novembre, la tournée démarre par une avant-première au cinéma Le Parc de Chambéry. Le 7, plusieurs établissements de la ville de Voiron et de Chambéry accueillent les projections. Le 12, les intervenants se rendent au lycée professionnel Simon Lazard de Sarreguemines, puis à Sciences Po Nancy pour une rencontre exceptionnelle. Le 14, une journée complète est organisée à Paris avec une intervention à la mairie du 6e arrondissement, des ateliers au lycée La Salle de Saint-Denis, puis une table ronde à l’ESME et à SupBiotech. Le 15, la délégation se rend à l’Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines pour une projection suivie d’un débat. Le 18, elle est accueillie à l’Université de Liège, puis à l’Université de Namur le 19. Les 20 et 21, la tournée se poursuit à La Haye, à The Hague University of Applied Sciences, et à l’Université d’Anvers. Le 22, une journée exceptionnelle est organisée à Paris avec l’école Living School, en partenariats avec MK2 et plusieurs collèges et lycées du 19e arrondissement de Paris pour deux projections scolaires retentissantes au MK2 Quai de Seine, avec la participation exceptionnelle de l’acteur et réalisateur Pierre Richard, parrain de l’association. Enfin, les 25, 26 et 27 novembre, la délégation clôture la tournée par des projections-débats à l’Université de Lausanne, puis à l’Université de Genève.
Tout au long de cette tournée, les échanges avec les élèves, enseignants et partenaires locaux permettent d’approfondir les thèmes de l’écocide, des droits de la Nature, de la démarcation des terres et des liens entre justice sociale et transition écologique.
Octobre :
Du 21 octobre au 1er novembre, Planète Amazone est présente à la COP16 sur la biodiversité, organisée à Cali, en Colombie. Cet événement marque le lancement officiel de la phase II du projet « Amazonia, Cœur de la Terre Mère », consacrée à la tournée d’impact et au plaidoyer international. L’association organise plusieurs projections du film dans des lieux stratégiques, notamment au musée YAWA, à l’université del Valle et dans un espace officiel de la COP. Elle co-anime également plusieurs panels et ateliers en partenariat avec Camille Dubois et Hugo Araujo de 7Vortex, Maite Mompo de Stop Ecocide Espagne, Jojo Mehta de Stop Ecocide International et la princesse Esmeralda de Belgique.
Ces événements rencontrent un écho très fort auprès des centaines de leaders autochtones présents, profondément touchés par le film. Les échanges donnent lieu à de nombreuses demandes de coopération et marquent l’internationalisation de la campagne d’éducation portée par Planète Amazone.
Septembre :
Le 4, Planète Amazone participe à un rassemblement place de la République à Paris pour exiger la libération du capitaine Paul Watson, fondateur de Sea Shepherd, détenu au Groenland. Gert-Peter Bruch prend la parole lors de cet événement pour réaffirmer le soutien de l’association à Paul Watson et dénoncer l’impunité environnementale des États pétroliers. Dans le même temps, les derniers ajustements sont apportés à la programmation de la tournée d’impact, dont le lancement est imminent.
Août :
Tout au long du mois d’août, les équipes de Planète Amazone poursuivent activement la coordination logistique et pédagogique de la tournée d’impact. Les premiers outils sont imprimés, les contenus sont traduits, les intervenants autochtones sont mobilisés. Une série de réunions est organisée avec les partenaires éducatifs pour coordonner l’accueil des projections et des délégations dans les différents pays concernés.
Juillet :
Le 10 juillet, la commission « Constitution et Justice » du Sénat fédéral brésilien vote un amendement constitutionnel inspiré de la thèse du Marco Temporal, menaçant la démarcation des terres indigènes. Planète Amazone publie une alerte urgente et organise une campagne de mobilisation en ligne pour informer et appeler au retrait de cet amendement. Dans le même temps, les équipes intensifient la préparation de la tournée d’impact du projet, prévue pour l’automne, en finalisant les contenus pédagogiques et les partenariats avec les établissements scolaires.
Juin :
En juin, Planète Amazone, conjointement avec la princesse Esmeralda de Belgique, organise l’agenda londonien du cacique Raoni Metuktire. À cette occasion, il rencontre le Lord Mayor de Londres, Michael Mainelli, qui s’engage à explorer des pistes de régulation de la finance au bénéfice des peuples autochtones. Le cacique accorde également une interview au média Bloomberg. Le 12 juin, une projection exceptionnelle du film « Amazonia, Cœur de la Terre Mère » est organisée à Ladbroke Hall dans le cadre de la Climate Action Week, accueillie par Extreme Hangout. Le 28 juin, il est invité à prendre la parole sur l’Other Stage du festival de Glastonbury, après avoir rencontré la Dr Jane Goodall sur le stand Greenpeace. Ils partagent ensuite cette scène, dans un moment historique salué par la presse internationale.
Pendant ce séjour, Planète Amazone organise aussi des tournages pour la production d’un nouveau documentaire sur le cacique Raoni, soutenu par la Fondation Re:wild et l’acteur Leonardo DiCaprio (sortie prévue pour 2026).
Mai :
Les 21 et 22 mai, Planète Amazone retourne au lycée Simon Lazard de Sarreguemines pour deux nouvelles projections-débats du film « Amazonia, Cœur de la Terre Mère ». Ces rencontres permettent de renforcer la sensibilisation des élèves aux enjeux environnementaux et aux droits des peuples autochtones.
Le 25, Planète Amazone participe au Cercle Festival au Musée de l’Air et de l’Espace à Dugny. L’association est choisie comme organisation partenaire de cette édition. Elle tient un stand pédagogique et organise une projection en plein air du film « Terra Libre ». L’événement offre une occasion de sensibiliser un large public aux enjeux de la déforestation et de la protection des peuples autochtones, et permet aux plus jeunes visiteurs de découvrir l’Amazonie autrement.
Avril :
Le 9 avril, le lycée Louis Armand de Chambéry accueille une projection du film « Amazonia, Cœur de la Terre Mère ». Près de 400 élèves de seconde et de première participent à cet événement, en présence de Gert-Peter Bruch, président de Planète Amazone. Cette rencontre permet aux lycéens d’échanger directement sur la protection de l’Amazonie, la défense des peuples indigènes et l’importance des actions citoyennes à l’échelle internationale.
Le 11 avril, Planète Amazone est invitée au lycée Édouard Herriot de Voiron, dans le cadre d’un cycle de ciné-débats sur la protection de l’environnement organisé par l’établissement en partenariat avec le cinéma Passrl et le CCFD. La projection exceptionnelle du film réunit près de 400 collégiens et donne lieu à un débat particulièrement riche et animé sur les thèmes de l’écocide et des droits des peuples autochtones. Ces interventions s’inscrivent dans la phase I du projet « Amazonia, Cœur de la Terre Mère », à quelques mois du lancement officiel de la tournée européenne d’impact.
Le 24 avril, Planète Amazone est invitée à Vienne pour une projection du film « Amazonia, Cœur de la Terre Mère », organisée par le député européen Thomas Waitz, les Verts européens et plusieurs ONG autrichiennes, dans le cadre de la campagne STOP UE-Mercosur. L’événement, qui se tient au cinéma Top Kino, réunit un public engagé autour des enjeux de la protection de l’Amazonie et des droits des peuples autochtones. Durant cette période, les équipes poursuivent également la consolidation du programme pédagogique, des partenariats éducatifs et des modalités logistiques de la tournée à venir.
Mars :
Le 19 mars, Planète Amazone organise une projection-débat du film « Amazonia, Cœur de la Terre Mère » au lycée Simon Lazard de Sarreguemines. Cet événement s’inscrit dans une série de rencontres visant à sensibiliser les jeunes aux enjeux environnementaux et à la défense des droits des peuples autochtones.
Février :
Le 20, une projection-débat du film « Amazonia, Cœur de la Terre Mère » est organisée à Bruxelles, en partenariat avec le groupe des Verts/ALE au Parlement européen. L’événement, qui affiche complet, réunit des eurodéputés, des représentants de la société civile et des membres de la communauté bruxelloise pour discuter des enjeux liés à la protection de l’Amazonie et des droits des peuples autochtones. Saskia Bricmont, Jojo Mehta et Gert-Peter Bruch interviennent lors du débat, dans le cadre de la campagne contre l’accord de libre-échange UE-Mercosur.
Janvier :
Planète Amazone entame l’année 2024 en poursuivant la préparation de la tournée d’impact du film « Amazonia, Cœur de la Terre Mère », dans le cadre de la phase I du projet. Les équipes travaillent à l’organisation des projections et des débats prévus dans plusieurs pays européens, en collaboration avec des partenaires locaux et des représentants autochtones. Le contenu pédagogique multilingue est finalisé, les outils d’animation sont testés, et les premiers établissements scolaires s’engagent aux côtés du projet.
Par ailleurs, Arkan Simaan, cofondateur de Planète Amazone, publie son nouveau roman historique « Un marin en terre des perroquets », inspiré du récit authentique du navigateur Binot Paulmier de Gonneville. L’intégralité des droits d’auteur de l’ouvrage est reversée à Planète Amazone, renforçant ainsi le soutien à la cause des peuples autochtones.