Synopsis
“Amazonia, Cœur de la Terre Mère” est un film documentaire ambitieux qui vous fera vivre l’histoire vibrante, et plus actuelle que jamais, de la lutte pour la reconnaissance et la protection des territoires indigènes de l’Amazonie brésilienne. Grâce aux précieux et émouvants témoignages de représentants indigènes emblématiques, y compris celui du grand chef Raoni Metuktire, et à des images somptueuses tournées en Amazonie et dans d’autres écosystèmes menacés, vous serez conviés à devenir, vous aussi, Gardiens de la Terre Mère et acteurs d’une nécessaire révolution humaine et écologique, dont dépend la survie du monde vivant dans son ensemble !
- Produit par Planète Amazone, le film est réalisé par Gert-Peter Bruch et Esmeralda de Belgique
Teaser du film: https://www.youtube.com/watch?v=pXGKDxvBuuc&t=1s
Un film pour relier et rallier, en touchant l’âme et la conscience
Au-delà de sa mission purement pédagogique, “Amazonia, Cœur de la Terre Mère” est bien plus qu’un film documentaire : c’est un chant vibratoire, à la fois sonore et visuel, qui en appelle à la conscience et à l’âme de chacun. Comment ? En évoquant le lien invisible qui relie notre propre souffle de vie, si fragile, avec celui de la chaîne du vivant dans son ensemble. Selon les peuples indigènes qu’elle abrite, l’Amazonie est un organe aussi vital pour la Terre Mère – c’est à dire la biosphère terrestre – que le cœur l’est pour notre corps. Ils en sont les Gardiens et considèrent qu’elle est peuplée d’esprits, que toute forme et source de vie est un membre de leur famille. Ils sont ceux qui se souviennent. Nous le savions, nous aussi, mais nous l’avons oublié.
On le ressent au fil du film : l’Amazonie est bien plus qu’une forêt : elle est le souffle humide de la Terre, le cœur battant d’un équilibre fragile. Ses arbres tissent des rivières invisibles dans le ciel, portant la pluie jusqu’aux confins du Pantanal, du Cerrado et des Andes. Elle murmure aux océans, nourrissant les courants marins de ses eaux chargées de vie.
Lorsque son chant s’affaiblit, la sécheresse gagne du terrain, les fleuves s’étiolent, et les vents portent la poussière là où jadis dansaient les nuages. Si l’Amazonie venait à fléchir, c’est tout un monde qui vacillerait, du plus petit insecte aux grands cétacés, des cimes andines aux rivages atlantiques.
Préserver l’Amazonie, c’est honorer le pacte ancien entre la Terre et le vivant. Car chaque arbre qui tombe, chaque rivière qui s’assèche, est une note perdue dans la symphonie de la planète. Et si ce chant s’éteint, que restera-t-il de l’harmonie du monde ?
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